A quelques heures de l'ouverture au public du XPrize (20.000 personnes attendues), les préparatifs s'accélèrent. Le "final countdown" est lancé. Mauvaise nouvelle, l'ascenseur de l'espace allemand n'a pas décollé, problème de faux contact. Demain rendez-vous à cinq heures du mat pour les premiers lancé de fusée...
il y a à travers la double quête exposée ici, celle du réalisateur et celle de ces nouveaux conquérants, l'émergence d'un nouvel espace. Non pas seulement celui infini de ces traqueurs de ciel mais un autre inédit, insolite, inconnu, situé probablement entre cet énorme « je ne sais quoi » et ce indéfinissable « presque rien » que dessine tranquillement le réalisateur. Cette façon de laisser venir les événements, de tenter de partager ce désir non pas de comprendre mais simplement de voir et de montrer, proposera sans doute par extrapolation un nouveau territoire inépuisable de pensées et de sujets pour l’avenir. Cette nonchalance maîtrisée et sans arrière pensée, au sens propre, et ce regard curieux, a/moral et temporairement a/gnostique préparent à de jubilatoires horizons pour toujours sans fin.
il y a à travers la double quête exposée ici, celle du réalisateur et celle de ces nouveaux conquérants, l'émergence d'un nouvel espace. Non pas seulement celui infini de ces traqueurs de ciel mais un autre inédit, insolite, inconnu, situé probablement entre cet énorme « je ne sais quoi » et ce indéfinissable « presque rien » que dessine tranquillement le réalisateur. Cette façon de laisser venir les événements, de tenter de partager ce désir non pas de comprendre mais simplement de voir et de montrer, proposera sans doute par extrapolation un nouveau territoire inépuisable de pensées et de sujets pour l’avenir. Cette nonchalance maîtrisée et sans arrière pensée, au sens propre, et ce regard curieux, a/moral et temporairement a/gnostique préparent à de jubilatoires horizons pour toujours sans fin.
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